Le nouveau gouvernement a pris ses fonctions, et déjà, les premières offensives contre les salariés et les retraités s’abattent sans la moindre retenue.
Les discours des élus, toujours empreints d’une froide technocratie, masquent difficilement une réalité brutale : le peuple doit payer. Encore et toujours..
L’argent manque ? Pas de problème, prélevons le chez les plus faibles.
Ces retraités qu’on déclare soudainement trop à l’aise. Ces travailleurs qui, paraît il, ne produisent pas assez.
Forçons-les à s’épuiser encore plus longtemps au service d’une machine qui broie leur existence. Mieux encore, imposons aux bénéficiaires du RSA de travailler pour un salaire de misère.
Oui, les larbins du capital, ces politiciens soumis à l’ordre économique, ne manquent pas d’imagination quand il s’agit de voler les plus pauvres.
Où va l’argent ?
Une question s’impose alors : pourquoi cet argent manque-t-il ?
Est-ce la faute d’une gestion catastrophique du budget de l’État, régulièrement ponctionné pour financer des aides et subventions dont l’utilité publique reste douteuse ?
Combien de fonds publics sont engloutis par des associations fantômes ou des organismes privés aux intérêts étrangement éloignés du bien commun ?
Combien d’évasions fiscales à coups de complicité d’État, de délocalisations organisées, de sanctions jamais appliquées contre ces entreprises qui profitent des aides publiques avant de disparaître sans rembourser ?
Et que dire du sacrifice de la production locale ?
Nos industries, nos savoir-faire, nos emplois sont bradés sur l’autel de la mondialisation. On les envoie dans des contrées exotiques où les travailleurs sont exploités sans répit, où l’écologie est un luxe ignoré, où les normes sanitaires sont inexistantes. Mais peu importe, tant que les dividendes des actionnaires gonflent, tout semble justifié aux yeux des élites.
La responsabilité de l’État
L’État porte une part immense de responsabilité dans cette situation. Sa gestion catastrophique, mêlant incompétence et détournement des ressources publiques, a plongé le pays dans une crise perpétuelle. Pourtant, loin de reconnaître ses erreurs, le gouvernement s’entête à imposer toujours plus de sacrifices au peuple. Pire encore, il rejette systématiquement la faute sur les citoyens, accusés de ne pas en faire assez, alors même qu’ils sont les premières victimes de ces politiques absurdes. Cet entêtement à fuir ses responsabilités n’est qu’un aveu de faiblesse et de cynisme.
Un système taillé pour l’oppression
Il est temps de regarder la vérité en face : les hommes et les femmes politiques, qu’ils soient de gauche ou de droite, servent avant tout leurs intérêts de classe.
Ces soi-disant représentants du peuple n’ont qu’un but : favoriser leurs amis, leur caste, leur cercle d’influence, au détriment de la majorité. Ils n’ont aucun scrupule à écraser les travailleurs pour que les actionnaires puissent prospérer.
Le discours est toujours le même : il faut travailler plus, payer plus, consentir toujours plus d’efforts.
Mais pourquoi ? Pour qui ?
L’économie capitaliste est une machine infernale qui ne profite qu’à une poignée de parasites. Ils produisent des lois pour nous soumettre, des taxes pour nous étouffer, des règles pour maintenir leur pouvoir intact.
Résister à l’oppression
Mais rien n’est gravé dans le marbre. Il est encore temps de se lever, de résister à cette oppression systémique. Refusons d’être les rouages dociles de cette machine destructrice. Refusons de donner notre consentement à ceux qui veulent nous asservir.
À chaque fois que nous restons silencieux, que nous acceptons sans broncher leurs mesures, nous leur donnons plus de pouvoir. Mais ce pouvoir, ils ne l’ont que parce que nous le leur accordons.
Nous avons le droit de dire non. Non aux injustices, non à l’exploitation, non à ce système qui ne produit que des inégalités et des souffrances.
Mettons à bas les parasites
Il est temps de détruire cette pyramide des privilèges. Le capitalisme ne peut survivre sans notre consentement. En cessant de jouer leur jeu, nous leur retirons leur pouvoir. Organisons-nous, unissons nos forces, et agissons pour une société plus juste, plus égalitaire.
Les politiciens ne sont que les gardes-chiourmes des capitalistes. Leurs lois, leurs règlements, leurs taxes ne sont que des outils de domination. Mais ces outils n’ont de pouvoir que celui que nous leur accordons. C’est à nous de renverser cette logique, de réécrire les règles pour mettre fin à leur règne.
Une nouvelle étincelle révolutionnaire
L’histoire nous enseigne que chaque système oppressif finit par s’effondrer lorsque le peuple se soulève. Il est encore temps d’éviter la nuit éternelle que nous promettent les capitalistes. Mais pour cela, il faut agir. Se réunir, partager nos idées, construire des alternatives.
Ne restons pas spectateurs de notre propre asservissement. Agissons pour que nos enfants héritent d’un monde où le travail est synonyme de dignité, et non de souffrance. Où les ressources sont partagées de manière équitable. Où la solidarité remplace l’égoïsme.
Le combat sera long et difficile, mais il en vaut la peine. Chaque pas vers la liberté est une victoire contre l’oppression. Chaque acte de résistance est une étincelle qui peut embraser le monde.